5 croyances des français sur l’équivalence de diplôme au Québec 
Équivalence

5 croyances des français sur l’équivalence de diplôme au Québec 

Cet article déconstruit 5 fausses croyances courantes que les psychologues français ont sur le processus d’équivalence de diplôme au Québec, notamment sur le doctorat, les stages, les approches thérapeutiques et les opportunités dans le privé.

5 croyances que beaucoup de psychologues français ont sur l’équivalence de diplôme au Québec 

 

S’expatrier au Québec pour exercer comme psychologue est un projet excitant… mais il est aussi souvent entouré de malentendus et de fausses informations.
Nombreux sont les professionnels français qui renoncent trop vite, pensant que le processus est inaccessible ou réservé à une élite.

Démystifions cela avec 5 idées reçues fréquentes – et surtout inexactes – sur l’équivalence de diplôme au Québec.

 

1. « Il faut un doctorat (PhD) pour exercer au Québec. »

Faux.


L’Ordre des psychologues du Québec (OPQ) propose un processus d’équivalence de diplôme pour les professionnels formés à l’étranger, sans exigence de PhD. Ce processus est généralement plus rapide et moins coûteux que de refaire une formation complète.

 

2. « L’internat n’est pas rémunéré. »

Faux.


Au Québec, les stages cliniques exigés pour l’équivalence sont rémunérés. Et pas symboliquement : plusieurs stages offrent une rémunération très compétitive, souvent supérieure aux conditions de stage en France.

 

3.  « Il faut viser le secteur public pour trouver un internat. »

Faux.


Les établissements publics priorisent souvent les étudiants québécois en formation doctorale.
En tant qu’expatrié, vous aurez plus de chances d’intégrer une clinique ou un centre privé, où la demande est forte et l’accueil des profils internationaux plus souple.

 

4. « Il est très difficile de trouver un lieu de stage. »

Faux.


Au contraire, de nombreuses cliniques recherchent activement des candidats pour superviser des internats.
Avec un bon dossier, une posture professionnelle claire et un accompagnement adapté, les opportunités sont là.

 

5. « Il n’y a pas de place pour l’approche psychanalytique au Québec. »

Faux.


L’approche psychodynamique (le terme le plus utilisé ici) est bien présente dans le paysage québécois.
Plusieurs cliniques et praticiens s’en réclament et accueillent volontiers des professionnels formés dans ce courant.

 

En conclusion : ne vous arrêtez pas à ce que vous entendez 

L’accès à la profession de psychologue au Québec est réaliste et possible pour les psychologues formés en France.
Mais pour cela, il faut dépasser les mythes, s’informer avec rigueur et s’entourer des bonnes ressources.

Change to International vous accompagne à chaque étape, de l’information à l’intégration professionnelle.

Faire le premier pas commence ici